Phantom Boy

L’histoire

Alerte maximale à New York ! Un gangster au visage cassé, toujours vêtu d’un imper et d’un chapeau, menace d’injecter un virus informatique dans toute la ville. Alex, un inspecteur de police, est à ses trousses. Mais suite à une course-poursuite, il termine à l’hôpital avec une jambe dans le plâtre. Là-bas, il se lie d’amitié avec Léo, un garçon de 11 ans gravement malade, mais qui a comme une sorte de super-pouvoir : la faculté de sortir de son corps. Grâce à Léo et à une journaliste courageuse, Alex va pouvoir poursuivre son enquête.

L’avis d’1jour1actu

L’originalité de ce film d’animation vient de son mélange des genres. Il s’agit bien sûr d’une histoire policière, avec un méchant très mystérieux et qui fait un peu peur. La scène où il tente de kidnapper la journaliste ménage d’ailleurs un sacré suspense. Il s’agit aussi d’une fable fantastique, Léo étant capable de se mouvoir dans les airs et de traverser les murs sans être vu ni entendu. Les scènes où il survole les buildings de New York comptent d’ailleurs parmi les plus belles et les plus poétiques. Enfin, il s’agit d’un drame assez dur sur l’enfance. Léo lutte contre la maladie, et c’est très émouvant. Le réalisateur a également saupoudré son film d’humour, ce qui le rend véritablement réjouissant.
Un dessin animé d’Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli (Diaphana Distribution).
 
Découvre des images de ce dessin-animé dans le diaporama ci-dessous !


 
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Les Nouvelles Aventures d’Aladin

Les nouvelles aventures d'Aladin, avec Kev Adams (Gaumont Pathé)

Kev Adams fait du tapis volant ! (Gaumont Pathé)

L’histoire

Cette nouvelle histoire d’Aladin diffère assez largement de celle que tu connais déjà. Normal, en fait, puisqu’elle est racontée par… un voleur déguisé en père Noël ! Explications : tout commence le matin du 24 décembre. Sam a enfilé un gros manteau rouge afin de dérober tout plein d’objets dans un grand magasin. Mais voilà que des enfants l’abordent et le supplient de leur raconter une histoire. Coincé, Sam choisit les aventures d’Aladin. Il s’imagine alors lui-même dans la peau d’Aladin, ce voleur au grand cœur qui, à Bagdad, il y a fort longtemps, tenta de sauver une princesse que son père voulait marier à un riche inconnu. Dans sa version à lui, pour le moins étonnante, le méchant vizir a une haleine douteuse et le génie, capricieux, lui accordera 8 vœux au lieu de 3.

L’avis d’1jour1actu

Dans ce film, le réalisateur s’autorise toutes les libertés, tous les délires. Le film multiplie les gags, au moins un par minute, même si, il faut l’avouer, certains tombent à plat. Le rythme en pâtit et l’ennui pointe par moments. On se réjouit toutefois de voir Kev Adams autant se démener dans le rôle d’Aladin : il bondit en tous sens, saute sur des tapis volants, balance des vannes et fait les yeux doux à la belle princesse. Entre 2 scènes mouvementées, cette comédie exotique rappelle aussi que la sincérité vaut toujours mieux que le mensonge, surtout en amour.
Un film d’Arthur Beuzaquen (Gaumont Pathé).

Laurent Djian

 
Secrets de tournage ! Kev Adams regarde son téléphone lors d’une pause dans le tournage du film.

Kev Adams lors d'une pause dans le tournage du film Aladin (Daniel Tordjman / Pathé)

Kev Adams lors d’une pause dans le tournage du film Aladin (Daniel Tordjman / Pathé)


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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