Ma souris chérie…
Avec ses pieds énormes et ses grandes oreilles, vous aimez Diddl à la folie. Mais, trop, c'est trop ! Le souriceau au coeur tendre commence à se faire des ennemis parmi les directeurs d'écoles qui jugent le phénomène de mode excessif. À quand un piège à Diddl dans les cours d'école ?

Je mesure la taille de 3 fromages, j'habite route du Gruyère et j'adore la fondue savoyarde. Qui suis-je ?' Inutile de vous souffler la réponse, vous avez tous reconnu Diddl. Comment en serait-il autrement ? Le souriceau le plus aimé au monde (… après Mickey !) affiche partout sa mine réjouie : sur les carnets, les journaux intimes, les porte-clefs, les autocollants, les crayons… Sans oublier, l'armée de peluches dont il est la vedette.
Qui l'eut cru ? Il y a 10 ans, le dessinateur allemand Thomas Goletz envoie des dessins de Diddl à quelques éditeurs. L'un d'eux a le coup de foudre. Et décide de publier Diddl sous forme de 13 cartes postales. C'est le début d'un succès qui va gagner toute l'Europe.
Il faut dire que Diddl n'a rien du personnage agressif très en vogue dans les dessins japonais. S'inspirant des histoires de Walt Disney dont il est fou, Thomas Golestz a inventé un personnage au coeur tendre, honnête, joyeux, très attaché à l'amitié. Ces traits de caractère vous ont touchés. Et les gros pieds de Diddl, inspirés des gerbilles, une espèce de souris sauteuses d'Afrique, ont fini de vous faire fondre. Sur le site officiel de Diddl, on ne compte pas moins de 70 fans-clubs. Et, déjà, certains établissements ont interdit aux élèves de s'échanger des ‘objets Diddle'. Car le trafic prenait trop d'importance…
Pour en savoir plus, consulte le site officiel de didd