Pourquoi en parle-t-on ?

Parce que du 18 au 21 juillet, se déroulent les Olympiades eskimo-indiennes à Fairbanks en Alaska, juste avant les Jeux olympiques de Londres.

L’@ctu du jour

Des épreuves bien givrées

Lors de ces jeux, il est possible d’assister à une épreuve qui consiste à transporter le plus loin possible un poids de 8 kg accroché à une oreille. Il y a également le high-kick où il faut frapper une balle qui se trouve à 2,50 m de hauteur avec… le pied.
Le Nalakatuk, ou trampo-couverture, est une épreuve impressionnante à regarder. Imagine une trentaine de personnes autour d’une grande couverture faite en peaux de rennes. Ils tendent et détendent la couverture et font rebondir un athlète qui doit exécuter des figures comme sur un trampoline. Cette technique était utilisée pour regarder au loin dans les régions glacées où il n’y avait ni arbre ni colline pour s’élever un peu.

Douleurs et épreuves

Les conditions de vie difficiles, imposées par un environnement hostile, ont façonné ces disciplines où la souffrance et la douleur sont omniprésentes. Ces épreuves étaient en général pratiquées dans les villages à l’occasion de fêtes. Afin que ces sports traditionnels ne disparaissent pas, les 1ers jeux Olympiques eskimo-indiens furent créés en 1961. L’objectif étant de montrer que cette culture est toujours vivante et qu’elle rassemble chaque année de plus en plus de spectateurs.

 Des jeux pas si givrés 

Les épreuves des jeux Olympiques eskimo-indiens peuvent nous sembler étranges, amusantes ou ridicules. Mais n’oublie pas que la boxe, l’haltérophilie ou le lancer de marteau par exemple peuvent sembler tout aussi étranges à des personnes qui les découvrent pour la première fois.
Tu peux retrouver d’autres articles sur les JO et des jeux dans le Géo ado jeux de cet été.

Le quiz du jour :

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