Ils sont originaires d’Amérique du Sud, de Chine, d’Afrique ou d’Europe, âgés de 21 à 45 ans et ont un point commun : ils vivent tous dans la rue. Jusqu’au 4 août, 500 sans domicile fixe, venus de 48 pays, sont réunis à Copenhague, la capitale du Danemark, pour jouer leur Coupe du monde.
L’objectif de ce tournoi : redonner l’espoir et le désir de se réinsérer dans la société à ces hommes grâce aux valeurs sportives, comme la combativité et l’esprit d’équipe. Et il semble que le but soit atteint puisque, selon les organisateurs du tournoi, près des deux tiers des participants de l’an dernier ont changé de vie après le retour.