Mieux combattre le dopage
Le laboratoire anti-dopage d'Athènes va devoir battre des records pendant les JO. 3500 analyses sont prévues, soit 180 analyses par jour.

Le dopage est un fléau qui touche le monde des sportifs. Ceux-ci, pour être plus performants, pour gagner, prennent des substances interdites, des drogues, dangereuses pour leur santé.
Lors des Jeux olympiques, qui débutent vendredi, on luttera mieux contre le dopage. Le nombre de contrôles sur les sportifs sera un peu plus important que pour les JO de Sydney en 2000. Mais surtout, la liste des substances interdites a été complétée.
7 millions d'euros ont été prévus pour réaliser ces analyses. Pendant les Jeux, 140 personnes travailleront en continu dans ce laboratoire très moderne.
D'ailleurs, le laboratoire travaille en ce moment sur un moyen de détecter des modes de dopage comme les hormones de croissance.
Mais il est difficile de tester tous les sportifs, car cela coûterait encore plus cher. En plus, les pratiques de dopage ont évolué. Désormais, tous les athlètes utilisent le même type de produits dopants, quelque soit leur sport.
Les organisateurs veulent faire des JO d'Athènes des jeux ‘ propres ‘, sans triche.
Hormone de croissance : substance stimulant la croissance chez l'enfant. Chez l'adulte, elle favorise l'assimilation des protéines, aide à brûler les graisses, diminue la fragilité des os, participe à la sensation de bien-être et favorise la cicatrisation des accidents musculaires.
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