Super Grand Prix
L’histoire
La jeune Edda habite dans un parc d’attractions avec son père. Elle aime l’adrénaline et les sensations fortes, mais, plus que tout, elle rêve de devenir pilote de course.
Dans quelques jours va débuter le très prestigieux Super Grand Prix. C’est l’occasion pour Edda, entourée de ses amis, d’essayer de rencontrer Ed, le champion du monde. Elle en profite même pour monter discrètement dans la voiture de son idole… qu’elle démarre sans le faire exprès. Ed, furieux, se blesse à l’épaule en essayant de la rattraper. C’est la catastrophe, il ne peut absolument plus conduire. Edda lui propose de prendre sa place au volant, incognito, sans que personne ne le sache…
On aime :
– Ed et Edda : à l’origine, ce sont les mascottes d’Europa-Park, un gigantesque parc d’attractions situé en Allemagne. Les auteurs de ce film d’animation leur ont donc inventé une histoire et ont développé leur personnalité. On s’attache à Edda, si enthousiaste et généreuse, au contraire de Ed, égoïste et prétentieux. Il évolue néanmoins durant l’histoire, découvrant ce que signifie l’amitié et l’esprit d’équipe. Il devient même émouvant sur la fin, lorsqu’il dévoile son lourd secret.
– La diversité des personnages : comme dans Zootopie, ce sont tous des animaux. Outre Edda et Ed, deux petites souris, il y a la renarde Cindy (la directrice du Super Grand Prix), mais aussi des lapins, des lamas, des cochons… Et Enzo le perroquet, qui commente les courses et multiplie les jeux de mots. Pour l’anecdote, c’est Nikos Aliagas, l’animateur de The Voice, qui lui prête sa voix.
– Les courses de voitures : elles rythment ce film qui file à 300 km/h. Elles se déroulent dans des lieux très différents à travers le monde, au pied de la tour Eiffel, à la campagne ou sur une montagne enneigée. Elles regorgent également de pièges dangereux et d’obstacles à éviter, on se croirait parfois dans le jeu Mario Kart. De quoi scotcher le spectateur à son siège durant 1 h 30 !